Et vœilà que ta sœur (te suivait en) marchant et disait: «Puis-je vous indiquer quelqu'un qui se chargera de lui?» Ainsi, Nous te rapportâmes à ta mère afin que son oil se réjouisse et qu'elle ne s'afflige plus. Tu tuas ensuite un individu; Nous te sauvâmes des craintes qui t'oppressaient; et Nous t'imposâmes plusieurs épreuves. Puis tu demeuras des années durant chez les habitants de Madyan. Ensuite tu es venu, ô Moïse, conformément à un décret.

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Pertinence
L’interdiction : Verset 3 Lorsque le Prophète confia un secret à l'une de ses épouses et qu'elle l'eut divulgué et qu'Allah l'en eut informé, celui-ci en fit connaître une partie et passa sur une partie. Puis, quand il l'en eut informée elle dit: «Qui t'en a donné nouvelle?» Il dit: «C'est l'Omniscient, le Parfaitement Connaisseur qui m'en a avisé».
8.2316885
Les prophètes : Verset 91 Et celle [la vierge Marie] qui avait préservé sa chasteté! Nous insufflâmes en elle un souffle (de vie) venant de Nous et fîmes d'elle ainsi que de son fils, un signe [miracle] pour l'univers.
8.199816
Al-Ahqâf : Verset 25 détruisant tout, par le commandement de son Seigneur. Puis le lendemain on ne voyait plus que leurs demeures. Ainsi rétribuons-Nous les gens criminels.
8.187105
Les factions, Les coalisés : Verset 37 Quand tu disais à celui qu'Allah avait comblé de bienfait, tout comme toi-même l'avais comblé: «Garde pour toi ton épouse et crains Allah», et tu cachais en ton âme ce qu'Allah allait rendre public. Tu craignais les gens, et c'est Allah qui est plus digne de ta crainte. Puis quand Zayd eut cessé toute relation avec elle, Nous te la fîmes épouser, afin qu'il n'y ait aucun empêchement pour les croyants d'épouser les femmes de leurs fils adoptifs, quand ceux-ci cessent toute relation avec elles. Le commandement d'Allah doit être exécuté.
8.180523
Al-aʿrâf, Les redans : Verset 150 Et lorsque Moïse retourna à son peuple, fâché, attristé, il dit: «Vous avez très mal agi pendant mon absence! Avez-vous voulu hâter le commandement de votre Seigneur?» Il jeta les tablettes et prit la tête de son frère, en la tirant à lui: «O fils de ma mère, dit (Aaron), le peuple m'a traité en faible, et peu s'en est fallu qu'ils ne me tuent. Ne fais donc pas que les ennemis se réjouissent à mes dépens, et ne m'assigne pas la compagnie des gens injustes».
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